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TEARS TO SHED, à sa première version fut fondé par Elvira, Yoric et Charles. Il est le nouveau-né d'une longue lignée (qui existe depuis février 2008) de forums basés sur le thème des Chronicles of Pirates of the Caribbean. Le design fut réalisé par Elvira, et certaines œuvres graphiques restent néanmoins la propriété de Forumactif. Toute copie, partielle ou complète est sévèrement punie par la loi, et ainsi : strictement interdite. Le contenu du forum revient aux membres du staff, ainsi qu'aux membres de TTS, veuillez respectez leur travail. A la V2 du forum, l'équipe administrative à été remaniée suite au départ de Charles, et est composée d'Elvira, Yoric, et de deux nouvelles têtes : Grace et Cutler. (Ajout de juillet 2011 : ajout d'Elizabeth au staff, suite au départ de deux de ses membres. )
Sujet: Extreme Ways (PV Choupinou) Dim 9 Jan - 22:02
Le soleil, la chaleur en plein mois de janvier, deux éléments qui changeaient considérablement Bailey. Cela faisait certes plus de trois mois qu’elle avait posé pour la première fois le pied sur le sol anglais de Port Royal, mais elle n’avait pas encore eut le temps de s’habituer aux très nombreuses différences qui pouvaient exister entre la Jamaïque et Cassel. Son époux, ou plutôt devrait-elle dire son ex époux, lui manquait, ainsi que sa famille, elle avait assez de mal a se faire a la langue et a la mentalité des anglais. Elle ne pouvait toutefois pas dire que tout lui déplaisait, loin de la d ‘ailleurs La raison même pour laquelle elle se retrouvait en territoire ennemie lui faisait apprécier la terre, et il fallait reconnaître qu’elle était plutôt agréable et avait certains avantages. Le temps en était un. Pour la première fois de sa vie, la jeune hollandaise se promenait, les pieds nus et les chaussures à la main, sur le sable chaud de la plage de la ville en plein hiver. Ce qu’elle faisait la, très peu le savaient, et beaucoup l’observaient avec curiosité se demandant ce qu’une femme de sa condition pouvait faire à une heure aussi tardive sur la plage. La réponse était toute simple, elle attendait, elle l’attendait lui ; elle attendait qu’il arrive face a elle. Elle ne savait pas exactement quand, mais elle savait qu’il viendrait. En temps normal, elle détestait attendre ainsi sans aucune certitude, mais la vue de l’océan la calmait.
[quelques jours au part avant] Très cher Davidson,
Il y a de cela bien trop longtemps que je n’ai pas été honorée de votre présence à mes cotés. Je ne doute pas un seul instant que vos actions doivent être très prenantes, mais auriez vous la gentillesse de me rejoindre mardi prochain, a la tombée du jour, sur la plage ? Vous feriez de moi une femme comblée.
Bien a vous.
B.R.L
Bailey Rebecca Leena… Elle ne signait jamais de son nom complet. La demoiselle posa sa plume et relit avec attention son billet ; elle n’y ajouterait rien d’autre, comme a son habitude sa missive était clair et on ne pouvait plus précise. Que ce soit pour son amant, pour son stathouder ou même pour son Charles bien aimé, elle adoptait toujours le même style. Les fioritures l’énervaient. De toute façon, elle sentait qu’elle n’aurait pas besoin d’écrire plus pour que le concernée se présente le jour dit au lieu dit.
[de retour sur la plage] La jeune espionne hollandaise appréciait ce petit moment de répit que lui offrait sans savoir Davidson. Elle avait ainsi le temps de se plonger corps et âme dans le rôle qu’elle allait une fois de plus devoir occuper. Il fallait qu’elle se prépare a redevenir une petite chose fragile et blessée par la vie, ayant du quitter la Hollande car son mari l’avait répudiée. La disgrâce pouvait avoir un effet dévastateur sur les faibles d’esprits. A peine était-elle arrivée qu’elle avait vu en Davidson la cible parfaite ; il était membre de la compagnie des Indes et sa demi-sœur, si elle ne se trompait pas, occupait le poste de gouverneur de la ville ; il était donc très proche de toutes les informations capitales. Si elle se débrouillait bien, elle devrait être capable de fournir de riches nouvelles a la compagnie néerlandaise. Le fait que le jeune homme l’apprécie aussi avait été un avantage indéniable et lui avait enlevé une grande partie de la phase séduction. Il était un de ses amants les plus réguliers, et c’était bien loin de lui déplaire. Et pourtant.. C’était avec lui qu’elle avait le plus de mal à mettre la phase manipulation en place. Il l’appréciait, elle le sentait, et elle pouvait aussi percevoir qu’il lui faisait confiance, ou presque ; c’était donc le moment de commencer à poser quelques questions, d’abords sans intérêts, puis de plus en plus poussées. Cela faisait pourtant plusieurs semaines qu’elle repoussait ce jour fatidique ; elle n’y arrivait tout simplement pas. O Bailey avait essayé plus d’une fois, mais sans réussite, ses questions étaient stupides et l’anglais se fermait, ne laissant rien filtrer. Bailey bascula sa tête en arrière et effectua un demi-tour, laissant le vent jouer dans ses cheveux et ses vêtements. Elle trouverait bien un moyen, comme toujours. Doucement, elle laissa sa tête se repositionner et lança un coup d’œil tout autours d’elle. Une silhouette avançait dans sa direction. Il était la, grand, fier, les cheveux légèrement décoiffés, la chemise gonflée par le vent. Elle s’avança de plusieurs pas, un sourire satisfait sur les lèvres jusqu'à ce qu’il se trouve en face d’elle.
Vous m’avez manqué.
Dernière édition par Bailey von Hessen-Kassel le Dim 16 Jan - 7:53, édité 1 fois
Davidson A. Brown
« CHIEF-LIEUTENANT »
♠ IRL Age : 32
♠ Parchments : 238
♠ Where are you ? : Là où m'envoient les fantasques dessins de ma demi-soeur...
♠ Habilities : Loyauté, fidélité, manque de scrupules
♠ RPG Age : 25 ans
♠ Quote : .
♠ Dealing ♠ ҂ ORIGINES : Lieuntenant en chef à la Compagnie des Indes Orientales, assistant de Lady Elvira Grey ҂ PROFESSION : ҂ RELATIONNEL :
Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Dim 9 Jan - 23:56
Bailey Rebecca Leena… Bailey von Hessen-Kassel… C’était elle qui avait signer, des initiales de ses trois prénoms, le petit mot qu’il avait reçu. Un petit mot tout simple. Clair, précis, concis, sans fioritures. Comme toujours avec elle. Cela ne déplaisait pas outre-mesure à Davidson. Il aimait la simplicité, et plus encore la clarté et la précision. Ce qui faisait qu’il appréciait son style littéraire. Comparé aux autres femmes avec qui il avait entretenu une relation un tant soit peu suivie, c’était incroyablement mieux. Pas de papier parfumé au parfum de rose. Pas d’écriture naïve et enfantine. Pas de petits cœurs sur les « i ». Pas de déclarations romantiques qui prenaient trois pages et noyaient complètement le véritable message dans la masse. Enfin, pas de toutes ces fanfreluches littéraires que ces dames jugeaient généralement nécessaire pour entretenir une liaison avec un homme de son rang. Juste quelques lignes simples et claires, qui disaient tout ce qu’il y avait à dire.
Et il avait donc prit le chemin de la plage un peu avant le crépuscule, revenant d’une « entretient » avec un homme des bas-quartiers qui avait été remarquablement court. Il avait malheureusement dû résilier sa « relation » avec lui, et ses ruptures avec ce genre d’homme étaient généralement très courtes. Ce qui lui permit de flâner un peu sur la route menant au sable et à la mer, songeant à sa relation avec la belle jeune femme qui l’y avait convié. Elle était agréable, tant physiquement qu’au niveau de la conversation ou du mental en général, et leur aventure était parfaitement satisfaisante. C’était une de ses amantes les plus régulières, et pas des moins douées, ce qu’il savait apprécier, bien sûr. Il l’avait connue quand Elvira l’avait envoyé l’accueillir, le jour même de son arrivée, et leur relation c’était très vite développée pour arriver à son stade actuel. Dès le début, il l’avait apprécié, et visiblement ça avait été réciproque, comme souvent avec ses dames.
Davidson était mignon, même beau, et il en avait pleinement conscience. Et plus le temps passait plus il appréciait la blondinette. Toutefois, ces derniers temps elle avait posé beaucoup de question. Oh, de façon espacé, mais ce soudain intérêt pour des choses aussi diverses et variées que stupides le troublait. Il était sans doutes trop paranoïaque. Ce n’était pas de sa faute, c’était me métier qui voulait ça, mais il n’allait pas gâcher cette relation sans raisons sérieuses. Parfois, les femmes étaient juste bêtement curieuses, ça arrivait. Et puis il avait commencé à s’attacher à elle… Enfin, cela ne l’empêchait pas de ne pas répondre aux questions. Moins les gens en savait, mieux c’était. Il ne pensait pas que la jeune femme avait de mauvaises intentions, elle devait juste être curieuse et se sentir assez en confiance avec lui pour demander, mais qui savait ce qu’on pourrait lui soutirer derrière s’il laissait échapper des choses… C’était autant par devoir que pour la protéger qu’il ne répondait pas à ses questions maladroites et parfois presque naïves…
Il secoua légèrement la tête, chassant ces pensées. Ce n’était pas le moment. Il venait d’arriver sur la plage, alors que le soleil s’approchait de plus en plus de la ligne d’horizon, et il la parcourue des yeux. Il n’y avait pas grand monde, et la plupart des gens étaient en train de partir. La trouver ne fût pas bien difficile. Elle était là, simplement, finissant un tour sur elle-même, le vent marin jouant dans sa chevelure blonde et ses vêtements. Absolument ravissante. Il s’avança vers elle et, quand elle l’eût aperçu, elle fit de même. Elle souriait, ce qui amena un sourire sur ses propres lèvres.
« Vous m’avez manqué. »
Comme toujours, elle le vouvoyais. Mais elle vouvoyais à peu près tout le monde, de toute façon, de ce qu’il en savait, et ça faisait longtemps qu’il ne s’en formalisait plus. Il la prit plutôt dans ses bras, venant poser un baiser sur son front, malicieux et tendre.
« Toi aussi tu m’as manquée, ma chère ♥. »
Il la tint simplement contre lui quelques instants, en silence, respirant son parfum.
« Alors, tu voulais me voir Bailey ? Je suis désolé si je t’ais trop longtemps négligé… Il est vrai que je suis occupé, mais je suis toujours occupé… »
Un fin sourire vint étirer ses lèvres. Oui, il était toujours occupé. Elvira avait toujours besoin de quelque chose, les intérêts de la Compagnie des Indes devaient toujours être défendus. Chaque jour qui passait, il avait une tâche ou l‘autre à accomplir…
« Toutefois cela ne m’empêchera jamais d’avoir un moment pour ta si charmante compagnie, surtout si ma modeste personne peut t’apporter un peu de bonheur. »
Il lui sourit de nouveau, l‘écartant légèrement de lui pour pouvoir la regarder dans les yeux, ouvert et sympathique comme à son habitude, surtout dans des cas comme celui-ci…
Invité
Invité
Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Jeu 13 Jan - 0:01
Il était venu, comme d’habitude. Pourquoi ? Bailey ne cherchait pas a le savoir, la seule chose qui l’importait était qu’il était la, sur la plage, a l’heure dite, le jour dit. Il devait venir, c’était écrit, elle le savait, et elle n’en avait pas douté une seule seconde. Il aurait peut-être du retard, surement d’ailleurs, mais il viendrait a coup sur. Elle souriait effectivement, mais il était impossible de dire pour quelle raison elle le faisait exactement. Etait-ce par plaisir de le voir ? Surement un peu oui ; elle avait trouvé le moyen de s’attacher a lui, ce qui ne lui facilitait pas la tache. Mais il y avait surement aussi un peu de fierté et d’orgueil dans ce sourire, il avait eut envie de ;a voir, il avait prit le temps de venir la voir. Bailey s’était donc diriger vers lui a petits pas, le vent soufflant dans ses cheveux, les rabattant légèrement sur son visage. Elle s’était arrêtée à quelques centimètres de lui, le laissant libre de se rapprocher, ou non s’il le désirait. Il lui avait manqué, c’était vrai, c’était même indéniable. La compagnie de Davidson était plus qu’agréable, il était charmant, cultivé et offrait donc une alternative assez intéressante a son travail. Elle s’était donc en quelque sorte habituée à sa présence, occasionnelle mais fort agréable, à ces cotés. Toujours est-il qu’il était temps pour elle qu’elle arrive à se ressaisir pour enfin l’interroger proprement. Si elle ne posait que des questions idiotes, il finirait forcément par avoir des doutes.. L’étape du dessus, celle qu’elle attendait avec impatience, consistait à réussir a les faire aller chez Davidson. Pour l’instant, ils s’étaient contentés d’utiliser la demeure de l’hollandaise sans jamais aller chez le lieutenant chef. Une fois qu’elle serait chez lui, les choses seraient plus simples ; tous êtres humains laissaient trainer un papier ou deux, dans une corbeille, dans un tiroir, ou même sur le bourreau. Toutes informations étaient bonnes à prendre. Le jeune homme sourit, ce qui ne fit qu’agrandir encore un peu plus celui qui s’étalait sur le visage serein de Bailey. Quelques secondes après, il combla la distance qui les séparait en allant la serrer dans ses bras tout en déposant un baiser sur son front. La demoiselle en profita pour poser une de ses mains dans le creux des reins de son amant, et l’autre sur son torse, défaisant avec habileté le bouton qui se trouvait sous ses doigts.
Toi aussi tu m’as manquée, ma chère.
Vouvoiement, tutoiement, a vrai dire, Bailey ne faisait pas vraiment la différence entre les deux, très rapidement, elle avait comprit que ce petit détail l’agacerait facilement, elle avait donc décidé de mettre a la trappe la seconde personne du singulier. De cette façon, elle n’avait plus a ce soucier de paraître impolie ou déplacée dans certains contexte, c’était aux autres désormais de se retrouver troublés ; et les autres, elle s’en fichait. La réflexion qu’il venait de dire lui faisait plaisir, et elle lui était reconnaissante de l’avoir précisé. Toujours serrée contre lui, elle déposa doucement ses lèvres sur le coup de Davidson.
Alors, tu voulais me voir Bailey ? Elle répondit à son interrogation en hochant légèrement la tête. C’était par ailleurs un simple question rhétorique, sa petite note avait été assez claire à ce sujet. Je suis désolé si je t’ais trop longtemps négligé… Cela ne faisait que dix jours que leurs chemins ne s’étaient pas croisés. Il est vrai que je suis occupé, mais je suis toujours occupé… Vous devriez penser a vous détendre a peu plus Davidson, vous allez vieillir avant l’heure si vous continuer… Et je pense que la Compagnie des Indes ne s’effondrera pas durant votre courte absence. Toutefois cela ne m’empêchera jamais d’avoir un moment pour ta si charmante compagnie, surtout si ma modeste personne peut t’apporter un peu de bonheur.
L’étreinte se termina avec douceur et la demoiselle pu voir le sourire qui s’étalait sur le visage du jeune homme. Bailey porta une de ses mains jusqu'à la joue de son amant et lui sourit à son tour. Il n’y avait aucun doute que leur attitude devait passer comme inacceptable aux yeux de certaines personnes, mais il semblait que Davidson n’en avait que faire, et elle, personne ne la connaissait, elle n’avait donc aucun scrupule a témoigner de son affection en publique.
Vous être bien trop aimable , mais je ne peux que vous remercier pour de telles attentions. Sachez tout de même que vos paroles ne seront pas oubliées et que je saurai m’en souvenir en temps voulu. Elle lui adressa un sourire amusé. J’espère que rester sur la plage n’a rien pour vous déplaire, j’ai cru comprendre que le ciel serait de toute beauté cette nuit.. Je nous ai préparé des collations si vous avez faim…
Bailey se rendait compte que ce rendez-vous allait être un des premiers ou la discussion serait a l’honneur…
Davidson A. Brown
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Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Ven 21 Jan - 13:51
Bailey répondit à son étreinte, passant un bras dans son dos, au niveau de ses reins, alors que l’autre jouait déjà, sur son torse, avec le premier bouton de sa chemise. Il avait pu remarquer, au cours des mois écoulés, que la jeune femme était très douée pour défaire les boutons de chemise… Enfin, les siens, tout du moins. Cette petite réflexion intérieur le fit sourire de plus belle, et les lèvres qui se posèrent délicatement sur sa joue n’arrangèrent bien sûr rien dans ce domaine… « Vous devriez penser a vous détendre a peu plus Davidson, vous allez vieillir avant l’heure si vous continuer… Et je pense que la Compagnie des Indes ne s’effondrera pas durant votre courte absence. »
Son sourire s’agrandit encore légèrement sur sa réponse. Ses répliques faisaient partie des raisons pour lesquelles il appréciait sa compagnie. Certes, il travaillait beaucoup, mais c’était, et ça avait toujours été, lui semblait-il, dans sa nature. D’abord pour satisfaire son père et puis… pour Elvira, sans doutes. Ou pour lui-même, dès le début, c’était assez difficile à dire. En surprenant certains des regards que leurs lançaient ceux qui s’attardaient encore sur la plage, il se dit toutefois que, même s’il accélérait son vieillissement, celui-ci serait toujours plus tardif que chez certaines personnes… Et probablement jamais aussi marqué que ces lesdites personnes. Le genre de petite scène qu’il étalait impudiquement avec sa compagne ne l’avait jamais fait tilté le moins du monde, et il n’avait donc pas la moindre trace de scrupules à l’étaler devant eux. Qu’avait-il à faire de leur avis ? Un seul avis lui importait, et encore, seulement dans certaines matières, et de toute façon ça n’avait jamais été un avis très pudique… « Vous être bien trop aimable , mais je ne peux que vous remercier pour de telles attentions. Sachez tout de même que vos paroles ne seront pas oubliées et que je saurai m’en souvenir en temps voulu. »
Une nouvelle fois, il lui rendit son sourire sur sa dernière remarque, n’en doutant pas une seule seconde. Il n’en était d’ailleurs pas marri outre mesure, ces petits moments de détentes en agréable compagnie n’étant pas vraiment ses bêtes noires, loin de là…… « J’espère que rester sur la plage n’a rien pour vous déplaire, j’ai cru comprendre que le ciel serait de toute beauté cette nuit.. Je nous ai préparé des collations si vous avez faim… »
Sur la plage… Ce ne serait pas un mauvais endroit, au fond, pour passer la nuit. Ils s’étaient jusqu’à présent rendu majoritairement dans la maison de la jeune femme, et un petit changement de cadre, surtout aussi plaisant, ne pouvait leur faire que du bien.
« Je resterais en bien des endroits plus désagréable que celui-ci, si tu m’assures de ta délicieuse compagnie sous les étoiles. »
Il lui adressa un clin d’œil pétillant et posa un rapide baiser sur ses lèvres douces et fines. Il aurait tout le temps de s’y attarder, plus tard, et brusquer les choses n’était pas plus dans sa nature, quand cela n’était pas rendu nécessaire par les circonstances… Ou ses envies. « En l’état, ce lui-ci sera des plus commodes, encore qu’il nous faille sans doutes attendre que quelques-uns de nos compagnons du moment soient rentré chez eux pour nous adonner à certaines activités… Heureusement, cela ne devrait pas prendre trop de temps, les gens de bonne condition semblent généralement avoir peur du noir, je n’ais jamais très bien comprit pourquoi… »
Davidson parlait parfois des « nobles », des « hommes et femmes de la digne société » ou des « gens de bonne condition », entre autres, comme s’il ne faisait pas lui-même partie de se groupe. Il avait un rang, un titre, un grade militaire au sein de la prestigieuse Compagnie, une bonne position dans celle-ci, et jusqu’à un domaine et plusieurs demeures, mais il lui arrivait vraiment de se sentir étrangement à l’écart de ceux qui formaient naturellement sa classe sociale, et plus proches de certaines autres dont sa naissance et son parcours l’éloignait pourtant fort…
« Enfin, je serais quand même content d’avoir le privilège de ta discussion, le temps que la nuit les repousses… Et j’accepterais aussi volontiers ton invitation à souper. Je n’ais malheureusement pas encore eût l’occasion de manger, se soir… »
Se défaisant d’elle, il lui laissa les mener tous deux vers l’endroit qu’elle jugerait approprié pour eux, se remettant entre ses mains délicates et avisées pour ce choix qu’elle avait probablement déjà effectuer, de toute façon…
« Alors, dit-moi, aurais-tu fais quelque chose de particulièrement intéressant depuis le dernière fois que nous nous sommes vu, puisqu’il semble que j’ai honteusement, par ma négligence laissé se placer cette date bien loin de celle d’aujourd’hui. »
Invité
Invité
Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Sam 22 Jan - 15:21
Bailey avait vieilli trop rapidement, il fallait aussi reconnaître que son mariage n’avait pas forcément aidé. Quarante-et-un ans les séparaient, et malgré ses nombreux amants et escapades, elle avait appris à agir selon ses besoins. C’est pourquoi elle insistait assez régulièrement sur le fait qu’il ne fallait pas vieillir trop vite. La chose était on ne peut plus stupide il était vrai, mais encore une fois, c’était une chose important pour Bailey. Qui plus est, si le jeune homme prenait un peu de temps libre, cela voulait très certainement dire qu’ils se verraient un peu plus, donc plus d’occasions pour l’interroger. Peut-être allait-elle enfin réussi a obtenir quelques informations de lui, même si elles pouvaient sembler dérisoires. Si elle avait tout bien compris, Davidson travaillait pour sa sœur qui lui faisait faire tous les travaux les moins agréables. La jeune demoiselle pensait très sérieusement qu’a ce niveau la, c’était a lui de devenir Gouverneur, il en assumait déjà les plus grandes responsabilités, mais ce n’était pas a elle de choisir, bien loin de la… Elle avait choisi la plage aussi bien qu’elle aurait pu décider de lui donner rendez-vous dans l’église ou dans la taverne la plus proche. Bailey avait juste eut envie de changer les habitudes, elle commençait à en avoir un peu marre que ce soit toujours sa maison qui les accueille a chaque fois. Elle devait passer plus d’une heure à ranger et cacher afin que Davidson ne puisse rien trouver de compromettant qui puisse la relier a la VOC. Il était de plus vraie que le ciel était sensé être magnifique ce soir, autant donc allier plaisir et beauté. Peu de personne connaissait l’amour que Bailey pouvait porter aux étoiles, bien des fois on l’avait traité de folle à la cour du Landgrave lorsqu’elle avait osé dire qu’un jour, elle était sure, l’homme irait sur les étoiles.
Je resterais en bien des endroits plus désagréable que celui-ci, si tu m’assures de ta délicieuse compagnie sous les étoiles.
La demoiselle sentie le rouge lui monter légèrement au visage pendant qu’elle laissait échapper un très léger rire. La flatterie marchait toujours sur elle. C’était mal et elle le savait, mais elle n’y pouvait rien. La phrase ne pouvait être que mensonges et stupidités, si elle était bien tournée et lui adressait au final un compliment, elle serait contente. Il fallait pas toutefois croire qu’elle abandonnerait toutes résistances a coup de flatteries. Elle n’eut pas le temps de s’attarder sur ses réflexions, Davidson venait de l’embrasser, la jeune femme essaya d’en réclamer plus, mais il s’était déjà éloigné.
En l’état, ce lui-ci sera des plus commodes, encore qu’il nous faille sans doutes attendre que quelques-uns de nos compagnons du moment soient rentré chez eux pour nous adonner à certaines activités… Heureusement, cela ne devrait pas prendre trop de temps, les gens de bonne condition semblent généralement avoir peur du noir, je n’ai jamais très bien comprit pourquoi… Nous ne sommes pas pressés vous savez.. Nous avons la nuit devant nous.. Sauf si d’autres occupations vous attendent avant l’aube.
Le noir… Elle pouvait tout a fait comprendre pourquoi l’obscurité pouvait effrayer ; on ne savait jamais ce que l’on allait trouver ou sur qui on allait tomber. Les ruelles sombres cachaient bien des secrets et des horreurs qui bien souvent terrorisaient. Elle n’aimait pas l’obscurité, elle n’en avait plus peur, mais elle ne l’appréciait pas pour autant.
Enfin, je serais quand même content d’avoir le privilège de ta discussion, le temps que la nuit les repousses… Elle sourit doucement. Et j’accepterais aussi volontiers ton invitation à souper. Je n’ai malheureusement pas encore eût l’occasion de manger, se soir… Je m’en étais doutée ! Elle lui attrapa doucement la main et l’entraina a une trentaine de mètres de la, ou elle avait déjà posé un petit panier sur le sable. Alors, dit-moi, aurais-tu fais quelque chose de particulièrement intéressant depuis le dernière fois que nous nous sommes vu, puisqu’il semble que j’ai honteusement, par ma négligence laissé se placer cette date bien loin de celle d’aujourd’hui. Elle sourit a nouveau. Il est vrai que notre dernière entrevue remonte il y a bien trop longtemps… Mais je connais vos obligations Davidson, et je ne vous en tiendrai pas rigueur. Quant a mes occupations – elle se laissa doucement glisser sur le sable jusqu'à ce retrouver assise, face a l’océan - elles n’ont pas été des plus palpitantes ; je continue d’aménager doucement ma demeure et je tente de dissuader mon père de me rendre visite ici. Comme je vous l’ai surement déjà dis, il n’a pas vraiment apprécié que mon mari me répudie, je vous laisse imaginer quelle fut sa réaction lorsqu’il apprit que j’avais quitter le pays.. Elle le regarda un court instant. Vous ne vous asseyez pas ?
Parler encore et toujours, passer d’un sujet à l’autre, sourire, partir dans ses souvenirs, cela avait toujours été une façon de détourner la conversation sans avoir vraiment eut le temps de répondre a toutes les interrogations.
Davidson A. Brown
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Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Ven 28 Jan - 18:11
Son compliment, qui était du reste parfaitement sincère malgré sa tournure légèrement mélodramatique, avait fait rougir et rire la jeune femme, les deux fois avec légèreté, ce qu’il trouvait toujours absolument charmant. Un peu de rouge ne dépareillait pas sur son visage, que du contraire, et il aimait bien son rire. Comme tout un tas de choses chez elle, ce qui expliquait, sans doutes, pourquoi il avait commencé une relation si suivie avec elle.
« Nous ne sommes pas pressés vous savez.. Nous avons la nuit devant nous.. Sauf si d’autres occupations vous attendent avant l’aube. »
Il secoua la tête, pour signifié que ce n’était nullement le cas. Il avait arrangé ses occupations pour pouvoir lui consacrer pas seulement la soirée mais toute la nuit, ou tout du moins autant de temps qu’il lui plairait. Il pouvait conduire bien des affaires dans le noir, ce qui était sans doutes lié au fait que, dès le plus jeune âge, il n’avait jamais craint l’obscurité mais l’avait vue d’abord comme un terrain de jeu et ensuite comme un champ d’action propice à toutes sortes de choses… Toutefois, il restait généralement, sauf exigence d’Elvira, maître de son temps, et ménager pour elle cette espace libre, comme il s’en accordait de temps en temps, n’avait pas été plus difficile que ça.
« Je m’en étais doutée ! »
Un léger rire s’échappa de ses lèvres alors qu’il se laissait entraîner vers le panier qu’elle avait posé sur le sable, un peu plus loin. Elle le connaissait de mieux en mieux au fil du temps qui passait, et lui aussi, quoique seulement dans une certaine mesure, d’un côté comme de l’autre. Il y avait des questions auxquelles il ne voulait ou ne pouvait répondre, et d’autres qu’il ne posait pas, que ce soit par politesse ou tout simplement parce qu’elles ne l’intéressaient pas plus que ça et n’étaient jamais venues dans la conversation courante entre les deux amants… « Il est vrai que notre dernière entrevue remonte il y a bien trop longtemps… Mais je connais vos obligations Davidson, et je ne vous en tiendrai pas rigueur. Quant a mes occupations… »
Tout en continuant de parler, elle prit place sur le sable, à côté du panier. Encore une fois, il songea qu’il avait en effet laissé passé beaucoup de temps, et se promit de ne plus commettre cette indélicatesse. Les affaires de la Compagnie des Indes et du Gouverneur étaient toujours pressantes, bien sûr, mais il aurait pu la contacter ces dernières semaines, et il le savait. Enfin, puisqu’elle lui pardonnait, il choisit de ne pas s’en vouloir non plus, et de réparer ça d’une façon ou d’une autre la prochaine fois qu’ils se verraient. Déjà en la plaçant assez proche dans le temps, et ensuite… Peut-être un dîner, ou autre chose. Il trouverait bien, il était assez malin pour ça.
« ... Elles n’ont pas été des plus palpitantes ; je continue d’aménager doucement ma demeure et je tente de dissuader mon père de me rendre visite ici. Comme je vous l’ai surement déjà dis, il n’a pas vraiment apprécié que mon mari me répudie, je vous laisse imaginer quelle fut sa réaction lorsqu’il apprit que j’avais quitter le pays… »
Il l’écoutait, comme toujours, attentif. Il avait remarqué qu’elle parlait beaucoup, peut-être tout simplement parce qu’elle aimait cela, mais cela ne le gênait pas outre mesure, que du contraire. Elle aimait peut-être parler, mais lui il aimait écouter, il était même presque fait pour cela. Il l’avait toujours été, et les années n’avaient fait que renforcer ce trait de caractère.
« Vous ne vous asseyez pas ? »
Davidson réalisa soudain qu’il était en effet rester debout, et, avec un doux sourire, s’assit à côté d’elle, passant doucement un bras sur ses épaules pour l’attirer tendrement contre lui, respirant son parfum agréable, les yeux perdus sur l’océan si vaste, qui l’avait amené ici de si loin, tout comme elle, tout comme Elvira, tout comme tant de gens…
« Je resterais toutes la nuit avec toi, Bailey, si tel est ton bon plaisir, bien sûr. Disons que c’est un début pour me faire pardonner de ne pas t’avoir revu depuis trop longtemps, en plus d’une occasion de profiter du plaisir toujours renouveler d’être avec toi. »
Ce qui était, encore une fois, la plus pure vérité. Il n’était pas du genre à prolonger une relation d’où il n’aurait tiré aucune satisfaction. À nouveau souriant, et son regard sympathique remplit de bonne humeur et de tendresse, il tourna son visage vers elle.
« Dis-moi, que nous as-tu apporté de bon, dans ce panier si prometteur, puisque tu me connais si bien que tu pouvais prédire à l’avance que j’aurais besoin d’un bon repas ? »
Il avait demandé cela autant par curiosité véritable - la curiosité aussi faisait partie de lui - que pour écarter la discussion du père de la jeune femme, de son mari, et de tout le reste. Il devinait, ou croyait deviner, avec ce qu’il savait d’elle, que le sujet devait être douloureux, même si elle ne le montrait pas, et ne voulait pas la laisser s’envelopper de mauvais souvenir qui aurait obscurcit cette nuit entre eux deux. Le passé était le passé, même s’il ne pouvait nier, malgré sa compassion et son affection pour elle, et sans doutes à cause de cette dernière, qu’il était bien content, pour sa part, qu’elle ne soit plus mariée et qu’elle soit venue s’installer ici…
Invité
Invité
Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou) Dim 30 Jan - 0:01
Quand sa belle-fille Marie-Louise lui avait demandé de divorcer pour pouvoir servir la cause de son pays, Bailey avait hésité assez longuement ; mais elle avait fini par accepter. Elle avait décidé de quitter sa vie qu’elle adorait, pour partir dans un pays qu’elle ne connaissait pas mais qu’elle détestait déjà, afin d’obtenir, comme elle le pouvait, des informations sur l’EITC. Il fallait, il était obligatoire, que la VOC devienne la première compagnie de commerce mondial. Bailey était donc partie, laissant absolument tout derrière elle. Ses débuts n’avaient pas été désastreux, bien loin de la. Afin de rejoindre Port Royal, qui était très étonnamment devenu la base de la Compagnie, elle avait du embarqué dans trois navires différents. Le deuxième avait sans aucun doute été le plus intéressant, la jeune femme en était ressortie avec plusieurs pages de son journal remplie. En contrepartie, un des matelots avait mystérieusement disparu. Seules deux personnes étaient au courant de ce qu’il s’était passé : le concerné, et Bailey. Depuis, elle avait réussi à maintenir un rythme régulier de correspondance à son ancien époux. Et pourtant, depuis le temps qu’elle connaissait Davidson, rien, absolument rien, n’était sorti. Bailey commençait à douter de ses capacités. Toujours est-il, que cette soirée la, elle allait encore essayer de le questionner. Peut-être lui répondrait-il cette fois-ci. Elle en doutait très fortement, mais sur un malentendu, cela pouvait marcher. Ou sinon, elle allait l’assommer avec toutes ses paroles. Quiconque la connaissait réellement aurait su que parler autant n’était pas dans son habitude, elle était aussi bavarde en stupidité seulement pour essayer de passer pour une jeune femme frivole, ce qu’elle devait être en fin de compte, et un peu décalée par rapport a la situation actuelle. Enfin, Davidson vint s’asseoir à coté d’elle avant de passer un de ses bras au dessus des épaules frêles de la jeune femme pour l’attirer contre lui.
Je resterais toute la nuit avec toi, Bailey, si tel est ton bon plaisir, bien sûr. La demoiselle lui sourit avec douceur. Disons que c’est un début pour me faire pardonner de ne pas t’avoir revu depuis trop longtemps, en plus d’une occasion de profiter du plaisir toujours renouveler d’être avec toi. Son sourire s’agrandit une nouvelle fois. Bailey se pencha très légèrement vers son compagnon et déposa un baiser sur sa joue. Dis-moi, que nous as-tu apporté de bon, dans ce panier si prometteur, puisque tu me connais si bien que tu pouvais prédire à l’avance que j’aurais besoin d’un bon repas ?
Ah… Voilà qui était une question piège, une véritable question piège. Le connaissait-elle suffisamment pour avoir prévu le diner parfait ? Elle n’avait pas eut de mal a deviner qu’il n’aurait pas eut le temps de manger, c’était toujours le cas, mais retenir les gouts d’une personne avec qui on passait peu de temps, et encore moins de temps a partager un repas, il y avait un fossé énorme, et Bailey ne pensait pas détenir une corde suffisamment longue qui lui permettrait de le traverser. La demoiselle se décida donc pour l’honnêteté et la chance. De la viande.. Elle avait prévu énormément de viande. Bailey ne raffolait pas particulièrement de ca, mais sa mère, peut avant qu’elle ne parte, que manger de la viande était une preuve d’un important statut social. A vrai dire, c’était une des mœurs qu’elle comprenait le moins, mais la n’était pas la question. La demoiselle adressa donc un immense sourire au lieutenant en chef avant de passer une jambe par dessus lui afin de se retrouver assise, face a lui. Avec douceur elle passa un bras autours du cou du jeune homme et se pencha pour déposer ses lèvres sur les siennes. C’était un baiser on ne peut plus tendre, n’exprimant qu’affection et bien être. Après plusieurs longues secondes, elle se détacha de lui et se concentra sur le panier.
Alors… Je vous préviens, ce n’est pas un repas de roi. Mais j’espère très sincèrement que ca vous plaira. Elle sorti deux assiettes, plusieurs couverts et deux verres. J’avais pensé prendre des bougies, mais je me suis rendue compte que je n’aurais pu les allumer, c’est donc pourquoi nous mangerons froid, et a la lumière de la lune. Elle prit deux autres assiettes et les posa non loin d’eux. Une contenait de la dinde, l’autre un rôti de bœuf. Cela ne vous dérange pas j’espère. Bailey sorti une coupelle de fruits. Et le meilleur pour la fin ! Elle posa une bouteille de vin sur le sable. Ai-je bien deviné ?
La jeune femme referma le panier et se tourna a nouveau vers Davidson et retourna dans la position qu’elle avait quelques minutes plus tôt. Avec lenteur, elle se pencha sur lui et se remit a l’embrasser.
Davidson A. Brown
« CHIEF-LIEUTENANT »
♠ IRL Age : 32
♠ Parchments : 238
♠ Where are you ? : Là où m'envoient les fantasques dessins de ma demi-soeur...
♠ Habilities : Loyauté, fidélité, manque de scrupules
♠ RPG Age : 25 ans
♠ Quote : .
♠ Dealing ♠ ҂ ORIGINES : Lieuntenant en chef à la Compagnie des Indes Orientales, assistant de Lady Elvira Grey ҂ PROFESSION : ҂ RELATIONNEL :
Davidson aimait bien faire sourire la jeune femme. D’ailleurs, d’une manière générale, il aimait faire sourire toute les femmes, surtout celles qu’il appréciait. Peut-être parce que cela indiquait un certain contentement, et qu’il avait toujours été un garçon des plus serviable. Ou bien parce qu’il trouvait que cela les rendait encore plus belle. Toujours était-il qu’il appréciait le sourire de Bailey, et qu’il aimait le voir naître et se développer à cause, ou plutôt grâce à lui. Quand il parlait, par exemple, comme ici. Il savait que la nature de ses paroles était propre à lui faire plaisir, et ses sourires ne faisaient que le confirmer. Tout comme les lèvres qui se posèrent doucement sur sa joue pour les gratifier d’un baiser spontané. Le plus beau étant, bien entendu, qu’il accomplissait tout cela non en mentant ou même en enjolivant, mais simplement en disant la vérité.
En réaction à sa dernière question, elle se dirigea vers le panier… Et en profita pour adopter une nouvelle position dans laquelle, passant un bras autour de son cou, elle pu se pencher sur lui et l’embrasser doucement, avec tendresse. Il le lui rendit, communiquant la même chaleur de contentement et de bien-être, avant qu’elle ne le rompe pour s’occuper véritablement de lui dévoiler le repas qu’elle avait apporté pour eux deux.
« Alors… Je vous préviens, ce n’est pas un repas de roi. Mais j’espère très sincèrement que ca vous plaira. »
Le Lieutenant en Chef de la Compagnie lui sourit de manière encourageante alors qu’elle sortait et disposait les assiettes, les couverts et les verres. Il n’était de toute façon pas réellement habitué à des festins de roi. Oh, il en jouissait de temps en temps, de part son rang et sa fonction, mais il préférait un en-cas solide quand il était chez lui et devait souvent se contenter de bien moins que cela lors de ses nombreux déplacement dans les Caraïbes et même un peu partout dans le monde.
« J’avais pensé prendre des bougies, mais je me suis rendue compte que je n’aurais pu les allumer, c’est donc pourquoi nous mangerons froid, et a la lumière de la lune. »
Cela lui convenait parfaitement. La lune et les étoiles étaient de veilles compagnes, témoins de tant de nuit solitaire, et il n’avait pas besoin de plus pour apprécier le repas… Ou même la beauté de celle qui le lui offrait. Il la regarda sortir de son panier au trésor deux nouvelles assiettes, porteuse cette fois de viande, l’une contenant de la dinde et la seconde du rôti de bœuf.
« Cela ne vous dérange pas j’espère. »
Il lui signifia que non d’un mouvement de la tête, tout en la regardant poser près du reste une coupelle de fruit. Bien sûr que ça ne le dérangeait pas le moins du monde.
« Et le meilleur pour la fin ! »
Un nouveau sourire éclaira son visage quand elle sortit finalement une bouteille de vin, qu’elle déposa sur le sable de la plage. Il s’attendait à quelque chose de ce genre après les deux verres qu’elle avait prit soin de mettre à leur disposition commune.
« Ai-je bien deviné ? »
Alors qu’il allait répondre par l’affirmative, il la vit se pencher sur lui, et choisit de d’abord l’embrasser un peu. Ce qu’il fit, bien entendu, et sans dissimuler le plaisir qu’il prenait à savourer le goût de ses lèvres et de sa langue, son goût à elle, pour être précis. Quand finalement leurs bouches se désunirent, il lui sourit paisiblement.
« C’est très bien, Bailey. Cela conviendra parfaitement à notre petit rendez-vous nocturne, à la seule lumière de l’astre de la nuit et de sa cour étoilée… »
Son sourire se fit plus tendre alors qu’il la regardait, et il se saisit de la bouteille et des deux verres, avant d’en poser un sur le sable et, après avoir ouvert la bouteille, de remplir l’autre. Il huma son parfum et le lui tendit doucement.
« Tient. »
Il prit ensuite l’autre verre et le remplit pour lui-même, avant de reboucher la bouteille et de la replacer sur le sable d’une façon permettant de ne rien perdre de son contenu. Il fit ensuite s’entrechoquer légèrement leurs deux verres, la regardant dans les yeux.
« À toi, ma très chère Bailey. »
Et il porta le verre à ses lèvres en buvant une gorgée doucement, en amateur occasionnel de bons vins, toujours sans que son regard quitte celui de la belle, ou à défaut sa personne si elle en décidait autrement, tendre et affectueux.
Bailey respirait. Elle était libre, enfin, d’une certaine façon elle était libre. Elle vivait a vingt-quatre ans ce qu’elle aurait du vivre a dix-huit. Ayant été mariée très jeune, même si la fidélité n’avait jamais été le maitre mot de son union, la jeune femme n’avait jamais pu réellement profiter d’années de célibats, a batifoler, a gauche et a droite autant qu’elle le souhaitait. Mais maintenant, elle le faisait, avec un certain plaisir d’ailleurs. Il ne fallait pas pensé qu’elle n’avait pas été heureuse dans son mariage, loin de la, mais le fait de se retrouver sur la plage, un repas improvisé, une bonne bouteille de vin, et aucune obligation de lendemain ou de tenue. La jeune hollandaise avait posé une question à son amant, mais elle ne lui avait pas laissé le temps de le faire, elle n’en avait pas eut l’envie. Elle l’avait embrassé, l’envie avait été trop forte. Avec plaisir, elle remarqua que le jeune homme répondait à son baiser avec autant de satisfaction qu’elle pouvait en démontrer. C’est avec un certain regret qu’elle se décolla, très légèrement de Davidson ; il fallait qu’elle se retienne, ils avaient, pour une fois, tout leur temps. Elle ne voulait plus s’endormir a ses cotés et se réveiller seule dans un lit chaud uniquement d’un coté. Bailey sourit doucement et posa un court instant sa main sur la joue du lieutenant en chef.
C’est très bien, Bailey. Il fallait tout de même dire qu’il n’avait pas vraiment le choix, mais le voir approuver était un petit plaisir personnel qui l’a fit sourire. Cela conviendra parfaitement à notre petit rendez-vous nocturne, à la seule lumière de l’astre de la nuit et de sa cour étoilée…
La jeune femme se laissa légèrement glisser, se rapprocha encore un peu du jeune homme. Celui-ci faisait toujours preuve d’un langage on ne peut plus choisi qui arrivait a lui faire perdre pied a chaque fois. Certain auraient qualifiés cela comme la preuve d’un romantisme coulant et exaspérant, mais la hollandaise ne considérait pas ses paroles comme tel, bien loin de la. Avec lenteur, le jeune homme attrapa la bouteille de vin ainsi que les deux verres. Habilement, il ouvrit la bouteille et rempli du liquide rouge sang, qui lui rappelait bien des souvenirs, qu’il lui tendit.
Tient. Merci !
La jeune femme attrapa la coupe et la porta a son nez afin qu’elle puisse, a son tour, humer les arômes du vin. Ce qu’elle pu sentit lui fit plaisir et elle laissa apparaître sur son visage un léger sourire de plaisir. Fixant a son tour les yeux, envoutants, de son amant, elle le laissa faire tinter leurs verres. Le geste n’était pas vraiment ce qu’il y avait de plus noble, mais l’occasion s’y prêtait bien, et très franchement, elle n’en avait rien a faire. Si le vent n’avait pas été frais, elle aurait rapidement quitté sa robe pour aller courir, corset légèrement défait et bas en soie, sur le sable fin de la plage, se risquant de temps en temps a aller s’humidifier les pieds. Elle avait peur de l’océan, et ce depuis très longtemps, c’est pour ca qu’elle n’oserait jamais, tout du mois jamais sans être sous la contrainte, elle n’irait trempé plus que ses genoux dans l’eau de mer.
À toi, ma très chère Bailey. A nous Davidson…. A nous.
A son tour, elle porta le verre d’alcool à ses lèvres et savoura le breuvage tant aimé. Elle avait fait un bon choix en prenant cette bouteille. Une fois de plus, elle gigota légèrement sur les genoux du jeune homme jusqu'à ce que son torse frôle sa poitrine à chaque respiration.
Et vous très cher… Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? Je vous ai effroyablement manqué ? La compagnie a-t-elle du faire face a une attaque de pirates ? Je vous imagine parfaitement sur le pont d’un bateau, les cheveux au vent, la chemise légèrement entrouverte entrain de combattre avec acharnement un pirate.. Elle poussa un léger soupir. Que la vie doit vous paraître captivante lors de votre travail !
Davidson A. Brown
« CHIEF-LIEUTENANT »
♠ IRL Age : 32
♠ Parchments : 238
♠ Where are you ? : Là où m'envoient les fantasques dessins de ma demi-soeur...
♠ Habilities : Loyauté, fidélité, manque de scrupules
♠ RPG Age : 25 ans
♠ Quote : .
♠ Dealing ♠ ҂ ORIGINES : Lieuntenant en chef à la Compagnie des Indes Orientales, assistant de Lady Elvira Grey ҂ PROFESSION : ҂ RELATIONNEL :
Davidson savait, bien entendu, que parfois son langage pouvait sonner comme par trop choisit à certaines oreilles, et même que certains le trouvait de temps en temps un brin ampoulé. Il était bien trop rusé pour ne pas s’apercevoir de ces petites choses. Pourtant, malgré les apparences, cette tournure occasionnelle n’était pas délibérée, elle était juste naturelle, et il ne voyait pas de raison de restreindre cette nature quand elle lui venait en de tels moments. Il parlait, tout simplement, et au diable ceux qui cela aurait dérangé. Du reste, sans doutes parce qu’il ne recherchait aucun effet, il n’y mettait ni le côté guindé ni la mièvrerie qui lui donnait souvent envie d’assommer les gens qui sortaient de pareilles phrases à dessein. Elles étaient aussi spontanées et charmantes par essence que le sourire qu’il arborait doucement en lui passant son verre.
« Merci ! »
Entre bien d’autres qualités, Bailey était une jeune femme polie, ce qui était toujours appréciable. Il la regarda humer son verre alors qu’il se servait lui-même, avant qu’il n’entrechoquent légèrement leurs verres, se fichant comme d’une guigne que ce soit pas le plus noble de tous. Il n’était pas le plus noble de tous les hommes, même s’il pouvait afficher une noblesse écœurante si cela s’avérait nécessaire. Il était Davidson Brown, et, malgré tous les masques qu’il pourrait arborer - et il en arborait la plupart à la perfection - il ne pourrait jamais, au fond de lui, être autre chose que cela. Du reste, il était d’avis que ce « cela » n’était pas si mal, en comparaison de nombreux autres spécimens de l’Humanité…
« À nous Davidson…. À nous. »
Un léger sourire se dessina à nouveau sur ses lèvres alors qu’il savourant délicatement le doux liquide carmin qu’elle leur avait apporté. Un vin de qualité, qu’elle leur avait trouvé là. Il la sentit ensuite gigoter contre lui jusqu’à trouver une positon qu’il ne pu que juger tout à fait agréable. Sa relation avec le jeune hollandaise était rafraichissante, en vérité. Une relation papillonnante, comme tant d’autres, mais qui lui apportait tout ce qu’il y cherchait…
« Et vous très cher… Qu’avez-vous fait ces derniers jours ? Je vous ai effroyablement manqué ? La compagnie a-t-elle du faire face a une attaque de pirates ? Je vous imagine parfaitement sur le pont d’un bateau, les cheveux au vent, la chemise légèrement entrouverte entrain de combattre avec acharnement un pirate... »
Encore une fois, elle ne pensait pas à mal, se dit-il, en la regardant pousser un petit soupir. N’importe quel marin de la Compagnie aurait pu lui parler d’une éventuelle attaque de pirates, et sans doutes encore bien d’autres gens. Mais il suffisait de peu de choses. Un petit « Davidson m’a dit que… » ou « Ce cher lieutenant-chef Brown me racontait justement… » dans les mauvaises oreilles, et elle pourrait s’attirer toutes sortes d’ennuis. Sans compter qu’il connaissait l’esprit humain, même le sien. On lâchait un petit quelque chose innocent, puis un autre, et un autre. Et avec le temps on en arrivait à des choses moins innocentes. Ors, la jeune femme n’était sûrement pas aussi doué que lui pour garder un secret, et qui sait les risques que cela aurait pu entraîner, tant pour elle que pour la Compagnie !
« Que la vie doit vous paraître captivante lors de votre travail ! »
Un sourire étira de nouveaux ses lèvres, et au bout de quelques instants, il laissa échapper un petit rire chaud, agréable comme la caresse du soleil. Les gens, en général, avaient toujours aimé son rire. C’était un rire chaleureux, rassurant et, en des cas comme celui-ci, affectueux.
« Je te félicite pour le vin, Bailey. »
Il abaissa légèrement la tête et l’embrassa avec douceur, brièvement pour ne pas se laisser entraîner trop vite par la passion. La nuit était belle, et il n’avait rien contre apprécier un peu sa compagnie avant de passer à d’autres activités. S’il avait cette relation avec elle, c’était en grande partie parce qu’il aimait sa compagnie, justement. Il préleva ensuite une nouvelle gorgée dans son verre, illustrant ses propos, savourant la chaleur de l’alcool en lui.
« Tu m’as manquée, bien sûr, ces derniers jours. C’est cela le plus effarant : tu me manques, mais je suis toujours tellement absorbé que je ne pense tout de même pas à t’inviter. Tu es vraiment trop bonne de me pardonner ces petits travers. »
De nouveau, il lui sourit, un sourire tendre et affectueux. Des tas de choses lui manquaient, plus ou moins cruellement, mais les machinations n’attendaient pas quand on ne leur demandait pas explicitement, que ce fût lui ou quelqu’un d’autre qui fasse la « demande ».
« Quant à mon travail… Je te l’ais déjà dit, je crois, ta compagnie est plus captivante que lui. C’est juste un travail. Je crois que s’est ce qui fait que je m’en sort si bien, ou du moins que ça fait partie de mais compétences. Beaucoup de gens se laissent exalté par le fait de servir la Couronne, la gloire de la Compagnie, la notion même de participer d’une façon ou d’une autre au combat contre les Pirates de l’Angleterre… Moi, je fais juste mon travail. Cela évite de faire tout un tas de bêtises et évite quantité de problèmes à quantité de gens de notre bord. »
Il ne lui avait pas parlé des pirates, bien sûr. Il ne le faisait jamais. Oh, il n’ignorait pas les questions directes, il opposait simplement un doux secret professionnel, mais il noyait généralement les interrogations malvenues dans la conversation. C’était cela aussi, son travail. Comme les batailles contre les pirates. Comme la paperasse. Comme le meurtre, la torture, la corruption, le rapt, le chantage. Comme tout le reste.
Elle souriait, comme a son habitude, mais pas d’un sourire qu’elle affichait régulièrement non. Ce n’était pas un sourire de bonheur, ni un sourire de moquerie, et c’était encore moins un rictus voué a la séduction, bien loin de la. Non, c’était un sourire de… De stupidité en quelque sorte, le genre de sourire qu’affichait de temps en temps, bien trop souvent d’ailleurs, les dames de la haute société lorsqu’elle abordait un sujet auquel elle ne connaissait absolument rien. Bailey n’avait pas choisi de sourire de la sore innocemment, bien loin de la. Elle l’avait associé a un ton de voix légèrement rêveur et a deux yeux brillants, ce qui faisait que ses paroles semblaient être dues a son imagination débordante de femme rester trop longtemps seule plutôt qu’a de la simple curiosité. Mais il fallait tout de même reconnaître qu’elle imaginait réellement Davidson au cœur d’un combat acharné avec un quelconque pirate des caraïbes. Certains auraient appelé ca un fantasme. Un rire finit par s’échapper de la gorge de Davidson. Comme à son habitude, il était réconfortant et plaisant à l’écoute. La jeune femme sourit tout doucement.
Je te félicite pour le vin, Bailey.
La concernée sourit un peu plus et avant qu’elle ne puisse dire quoique ce soit, le lieutenant-chef se pencha très légèrement afin de l’embrasser. Le baiser avait été court, beaucoup trop court si l’on interrogeait la jeune femme, elle aurait d’ailleurs très probablement ajouté qu’il serait bien, très bien même, s’il la félicitait plus souvent, ne serait-ce que pour avoir fait un bon choix comme elle l’avait fait aujourd’hui. A son tour, elle porta son verre a ses lèvres et bu une nouvelle gorgée.
Tu m’as manquée, bien sûr, ces derniers jours. Bailey laissa un sourire moqueur s’étaler sur son visage. Elle ne savait pas si c’était vrai, mais elle lui était reconnaissante de bien vouloir lui faire croire le contraire. C’est cela le plus effarant : tu me manques, mais je suis toujours tellement absorbé que je ne pense tout de même pas à t’inviter. Le sourire se fit désormais sincère. Tu es vraiment trop bonne de me pardonner ces petits travers. Je sais…. Mais il m’est difficile de vous en vouloir trop longtemps.
Bailey répondit avec douceur à son sourire avant de porter sa main libre à la joue de son amant. Bailey avait beau essayer de s’imaginer dans de telles conditions, elle n’y arrivait pas. Elle n’arrivait pas savoir ce que cela faisait de devoir travailler et de devoir faire passer son travail avant tout. Elle n’avait jamais eu besoin de travailler, de sa vie entière, et elle n’avait jamais voulu a la faire. Sa mère lui avait longuement expliquer que le travail n’amenait rien de bon, et que seuls les hommes devait le faire. C’était donc un peu pour ca que la demoiselle ne pouvait en vouloir a Davidson… Et après tout, leur relation n’en était pas vraiment une n’est-ce pas ?
Quant à mon travail… Je te l’ais déjà dit, je crois, ta compagnie est plus captivante que lui. Vraiment ? Alors pourquoi ne se libérait-il pas plus souvent ? C’est juste un travail. Je crois que s’est ce qui fait que je m’en sors si bien, ou du moins que ça fait partie de mais compétences. Beaucoup de gens se laissent exalter par le fait de servir la Couronne, la gloire de la Compagnie, la notion même de participer d’une façon ou d’une autre au combat contre les Pirates de l’Angleterre… Moi, je fais juste mon travail. Cela évite de faire tout un tas de bêtises et évite quantité de problèmes à quantité de gens de notre bord. Bailey se pencha quelque peu sur le jeune homme et vint déposer ses lèvres sur la joue de son amant. Voilà une bien étrange conception. J’ai toujours pensé que pour effectuer un bon travail, il fallait apprécier ce que l’on faisait…. Je me suis peut-être trompé. Elle lui sourit et l’embrassa a nouveau avant de quitter sa position, retrouvant le contact du sable. La jeune femme tendit la main vers la coupelle de fruit et attrapa une pomme. Toujours est-il.. Que vous n’avez fait qu’esquiver ma question ! Surement parce qu’elle était bien trop stupide.. Après tout, vous devez être beaucoup plus important que ca pour la Compagnie.
Un nouveau soupire s’échappa de ses lèvres avant qu’elle ne croque a pleines dents dans la pomme qu’elle venait de prendre. Elle parlait trop…. Beaucoup trop.
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Sujet: Re: Extreme Ways (PV Choupinou)
Extreme Ways (PV Choupinou)
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