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TEARS TO SHED, à sa première version fut fondé par Elvira, Yoric et Charles. Il est le nouveau-né d'une longue lignée (qui existe depuis février 2008) de forums basés sur le thème des Chronicles of Pirates of the Caribbean. Le design fut réalisé par Elvira, et certaines œuvres graphiques restent néanmoins la propriété de Forumactif. Toute copie, partielle ou complète est sévèrement punie par la loi, et ainsi : strictement interdite. Le contenu du forum revient aux membres du staff, ainsi qu'aux membres de TTS, veuillez respectez leur travail. A la V2 du forum, l'équipe administrative à été remaniée suite au départ de Charles, et est composée d'Elvira, Yoric, et de deux nouvelles têtes : Grace et Cutler. (Ajout de juillet 2011 : ajout d'Elizabeth au staff, suite au départ de deux de ses membres. )
♠ Where are you ? : auprès de son maître suprême, le dénommé Lord.
♠ Habilities : espionnage, faux-semblants, froideur à en couper le souffle, sang-froid, loyauté envers Beckett, habilités dans l'assassinat et le complot.
♠ Camp : toujours près de lord Beckett.
♠ RPG Age : 58ans.
♠ Quote : Rien n'est plus beau que le désespoir qui enveloppe de son voile macabre des larmes de sang, effleurant en silence, une peau d'albâtre glacée. Rien n'est plus beau qu'un cadavre.
♠ Dealing ♠ ҂ ORIGINES : écossaises-britanniques. ҂ PROFESSION : assassin personnel de lord Beckett. ҂ RELATIONNEL :
Sujet: PV ♦ in the middle of the night... | Part I. Lun 15 Aoû - 5:27
& « A little flame must be transformed to a disastrous fire… -Do not be afraid to become a beautiful nightmare to me. »
Quelques petites gouttelettes de pluie se promenaient avec délicatesse sur les bords de sa lourde redingote en lin grisâtre, le faisant sourciller mauvaisement. Il les chassa en agitant nonchalamment sa manche trempée, et humidifiée par de l’eau glacée, sans goût. Monsieur Mercer détestait être mouillé ainsi. Malgré le fait qu’il fut élevé à Manchester, en Grande-Bretagne, et certainement familier à un tel climat désastreux, il méprisait toujours cette impression de n’être qu’une passoire, à laisser couler la pluie le long de son corps, jusqu’à ruiner les vêtements coûteux qu’il était parvenu à s’offrir grâce à sa récente et importante paye du mois. Lord Beckett s’était montré fort généreux. Et pour cela, monsieur Mercer lui en serait éternellement reconnaissant, lui, homme de classe modeste, voire pauvre, depuis sa plus tendre enfance. Il ne connaissait pas le luxe du velours, ni la douceur de tissus doux comme la soie, le satin, ou le taffetas. Des tissus amples, larges, de coton ou de lin lui suffisait amplement. Est-ce que Monsieur Mercer aurait pourtant souhaité…connaître ce genre de vie, au plus profond de lui ? Certainement pas. Cela paraissait intriguant, mais l’homme en noir préférait sa vie morne, de gueux, sans attaches quelconques, à n’agir que pour le bon plaisir de son employeur, sa seigneurie Cutler Beckett. Il s’était habitué à cette vie durant des années, alors à quoi bon la lui bouleverser du jour au lendemain ? Les gueux faisaient partis de son monde. Son sang. Ses origines.
Il marchait le long d’une ruelle peu éclairée, ce soir-là. Un soir de pleine lune. Elle était pleine, bien ronde, et d’une délicieuse teinte argentée, si subliminale. Monsieur Mercer l’observa en silence, avant de plisser ses petits yeux noirâtres vers un carrefour, situé tout près de la taverne de Singapore. Aucun bruit. Aucune silhouette. Il n’y avait que lui, désormais. Et cela lui plaisait énormément. Ne faire qu’un avec la nuit, la solitude, à laquelle il ne cessait de se rattacher éternellement…
David Mercer se souvenait parfaitement des derniers mots de son maître, lord Beckett, alors qu’il lui avait confié une importante mission il y a de cela une semaine. Beckett ne faisait pas confiance en Edward Davis. Et d’ailleurs, il ne lui avait jamais offert ce précieux cadeaux…et ne comptait certainement pas le faire, songea Mercer, sombrement. Il avait raison. Ce Davis n’était qu’un opportuniste, un séducteur invétéré, doublé d’un faux-jeton. Il se cachait derrière les jupes en dentelle blanche de son amie proche, Elvira von Hanover. Beckett, désormais. Il réprima un rictus. Son visage couvert de cicatrices blanchâtres, et autres balafres se crissa, se courba, devant l’idée que son employeur ait pu s’engager auprès d’une noble. Certes, il avait déjà pensé à cette hypothèse par le passé…Son maître se faisait vieux, et il ne garderait pas sa fougue éternellement, et s’il tenait un tant soit peu à obtenir des héritiers dignes de ce nom, de son rang, et de son sang, il se devait d’épouser une aristocrate très bien placée. Il l’avait bien trouvée, la nièce du Roi George I en personne. Monsieur Mercer se devait de féliciter lord Beckett pour sa récente trouvaille. Les relations de sa femme deviendraient siennes, et ainsi, plus rien ne pourra s’opposer à sa suprématie, ou à ses moindres désirs…Un plan stratégiquement élaboré, ma foi.
Et pourtant, monsieur Mercer trouvait à redire. Il n’aimait pas l’idée que l’on accapare Beckett, en vérité. Et ses regards noirs devenaient plus que fréquents, en la présence de dame Elvira. Le petit homme à la redingote gris perle ne lui faisait pas confiance. Elle était aussi sournoise qu’un serpent. Une vipère subtilement bien maquillée, poudrée, et déguisée derrière des vêtements hors de prix, une attitude snobe à en faire pâlir le plus fier des Lords, et un ton qui ne lui plaisait pas, mais alors pas du tout. Pour qui se prenait-elle ? Pour la reine ? Monsieur Mercer ferma ses yeux durant une fraction de seconde. Il avait été là, lors du mariage…Et il n’en gardait qu’une intense rancœur, comme si on venait de le trahir. Oui, le goût de la trahison se sentait parfaitement sur sa langue. Il avait intérieurement apprécié le geste de la corsaire Aloha Ihnoe, soi-dit en passant. Même si son arrogance l’avait rapidement refroidit. Car agir ainsi le jour d’un mariage, même à l’égard de la fiancée, signifiait également de manquer de respect au marié, et donc à lord Beckett. Monsieur Mercer n’accepterait guère qu’on insulte, ou salisse, le nom de son employeur aussi impunément.
Mais chaque chose en son temps…
Soudain, l’homme s’arrêta près d’un pont en bois, où d’imposants arbres jonchaient de droite à gauche de la longue rue menant à quelques demeures, plus ou moins aisées. Il cherchait des yeux une bâtisse en particulier, un endroit, réputé pour être la maison de « vacances » de l’amiral Davis. Cette information semblait fiable, d’après les sources de l’assassin écossais. Et suite à l’avertissement de lord Beckett, il s’était offert le luxe de voyager jusqu’en Chine dans l’espoir de dénicher le grand brun, et de découvrir ce qu’il cachait, à se rendre ainsi dans cette ville régulièrement…Mercer franchit le petit portail et se faufila près d’une large fenêtre éclairée de l’intérieur. Un feu crépitait dans la cheminée. Mais il ne voyait pourtant aucune silhouette humaine, d’homme, plus particulièrement…Un ombre passa dans le fond de ses prunelles. Il recula, et contourna la maison pour se diriger vers un jardin.
Amiral Edward T. Davis
♠ Parchments : 33
♠ Where are you ? : Entre les jambes d'une ou d'un de ses partenaires...
♠ Habilities : les mots, la manipulation, le charme & les duels d'épée
♠ Camp : L'eitc, sans aucune hésitation.
♠ RPG Age : twenty six years
♠ Quote :
« Si par nature, l'homme est une bête de sexe, j'ai toujours eu des animaux de compagnie »
Sujet: Re: PV ♦ in the middle of the night... | Part I. Jeu 18 Aoû - 18:16
I want a new play to game
Raccompagnant la jeune femme qu’il avait charmé pour la soirée, il ne prit même pas la peine d’éteindre la cheminé et enfila une veste. Puis, claquant des doigts, son chien Sorbone accouru sans que son maître ai eut à prononcer la moindre phrase, le moindre son. L’animal avait été dressé depuis ses premiers mois à obéir qu’a lui seul, entrainé à tué sans faire de pitié. L’amiral n’avait qu’a prononcé un mot en allemand, et la proie du chien féroce n’était plus de ce monde.
Une main enroulé autour de la taille fine de sa maitresse du moment, de sa favorite, l’autre, de sa main habile, tenait un cigare avec nonchalance. Combien de fois Elvira lui avait répété d’arrêter de fumer, que ce n’était pas bon pour Louis, pour son unique héritier. Une bonne centaine…Mais Edward, malgré le fait qu’il aimait profondément la jolie blonde comme sa propre sœur, n’écoutait en rien ses conseils et continuait d’en faire qu’a sa tête. Pendant toute son enfance, ses parents lui avaient mis des barrières, toutes ses années à entendre les mêmes mots :
« Fais pas ça…tiens toi droit… force toi à sourire, même si tu n‘aimes pas ces gens, les décevoir pourrait salir notre étiquette Edward ! »
Ah, l’étiquette était importante pour le père du jeune Davis mais derrière ces faux semblant se cachait la plus ignoble des pourritures. Edward tenta tant bien que mal d’oublier toutes ces choses immondes que lui avait fait subir son père, la nuit alors que sa mère fermait les yeux sur ce qui se passait au dessus d’elle, dans la chambre de leur fils unique. Oublier était une chose bien plus facile à dire qu’a faire, car pendant toutes ses années, il n’oublia pas. Son humeur qui était pourtant légère en début de soirée se transforma très rapidement. Morose, il déposa un baisé sur la main d’Alice, arrivé près de sa demeure et au moment où il allait partir, la jeune femme lui attrapa le bras et le retint.
- On vient de faire l’amour il y a peu et c’est comme ça que tu me dit au revoir ?
- Justement, je suis fatigué. Cela ne t’a pas suffit…
Vexé, la jeune femme lui administra une violente gifle, marquant sa joue de ses cinq doigts et rentra rapidement dans sa maison, claquant violement la porte derrière elle. Soupirant, il baissa la tête et ses yeux tombèrent sur son chien qui le regardait d’un air bête. Edward sourit et caressa d’un air absent le museau de son compagnon avant de faire demi tour pour rentrer chez lui. L’esprit vif, l’amiral su tout de suite que quelqu’un s’était introduit sur sa propriété en son absence. Le portillon qui était certes fermé n’était pourtant pas enclenché. Détails futile pour certains, important pour d’autre. Silencieux, il entra a son tour dans son jardin et releva doucement la tête pour fixer l’immense fenêtre qui avait, comme tout le portail, bouger. Préférant faire le tour du jardin avant de passer à l’intérieur, il s’engouffra dans la pénombre obscure qu’abritait les imposant types d’arbre qu’il possédait sur son terrain, il se fit discret et observa les lieux. Une silhouette se découpa à la lueur scintillante de la pleine. Une ombre inquiétante voir terrifiante pour les enfants. Mais l’amiral en avait vu de toute les couleurs et ce n’était surement pas un visiteur indésirable qui allait l’inquiéter.
D’un bond souple et rapide, il fut sur l’étranger. Il le plaqua à l’aide de son corps musclé au sol et de sa poigne de fer, il s’empara du poignet de l’inconnu et ramena la main de l’homme qui tenait un poignard, sous sa gorge. Edward plissa les yeux et, sans surprise, il découvrit le visage blafard de Mercer, le chien du lord.
- Encore vous ?
L’amiral se félicita d’avoir confier Louis à sa nourrice durant la période qu’il siégeait à Singapour, sinon l’enfant en aurait fait des cauchemars en découvrant cette tête immonde, penché au dessus de son berceau.
- Qu’est-ce que vous fichez ici Mercer…attendez, je sais. C’est encore votre précieux maître qui vous envoie pour faire la boniche ? Brave bête, il a fait le gentil toutou à sa mémère. Tu veux un susucre ? Tiens attends, bouge pas…
Mimant le geste de reculer pour aller chercher quelque chose, il envoya son poing sur le visage du larbin de Beckett et l’attrapa par le col pour le décoller du sol.
- Si je vous vois encore trainer près d’ici, de moi ou bien même de mon fils, je vous jure David Mercer que je vous ferais pas de cadeau ! Cela fait bien trop longtemps que je vois marcher dans la poussière de mes pas et je commence à en avoir marre de voir votre immonde visage de psychopathe !
Sans aucune délicatesse, l’amiral le vira, proprement parlé, de chez lui et referma la porte de sa demeure avec force. Si Mercer le suivait, le surveillait, s’était que le mari de son amie ne lui faisait aucunement confiance. Edward ne comprenait pas ce qu’il avait pu faire pour inquiéter Beckett sur son comportement. Il était un homme sans problème, si ce n’était qu’il ne se gênait pas pour coucher a droite à gauche. Mais au moins, il ne couchait pas avec Elvira. Il était au soldait loyal, fier de servir sa patri alors qu’Est-ce qu’il avait pu commettre comme erreur ?